Résultats pour « Inhibiteurs de Sonic Hedgehog »

»» Intérêt majeur des inhibiteurs de PARP (poly-ADP-ribose-polymérase-1) dans les cancers de l'ovaire, actuellement disponibles en autorisation temporaire d'utilisation de cohorte, dans le cadre du traitement d'entretien chez les patientes BRCA muté. »» Place du bévacizumab dans le ...

» La toxicité digestive des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) est fréquente. Initialement considérée comme essentiellement gastroduodénale, elle atteint le tractus intestinal dans plus d’un tiers des cas. » Les principaux facteurs de risque de toxicité des AINS sont l’âge ...

» L'activation de la protéine ALK suite à des remaniements chromosomiques, amplifications géniques ou mutations est oncogénique et aujourd'hui détectée dans un nombre croissant de tumeurs de types très divers. Son expression ectopique conduit à une réponse immune qui laisse penser ...

» Les mutations d'EGFR sont retrouvées dans environ 10 % des cancers bronchiques, particulièrement dans les adénocarcinomes, chez les femmes et les non-fumeurs. Trois inhibiteurs d'EGFR, l'erlotinib, le géfitinib et l'afatinib, ont obtenu une AMM européenne pour un traitement dès la ...

» La neuropathie amyloïde héréditaire est une grave maladie génétique provoquée par le dépôt de transthyrétine (TTR) amyloïde dans les nerfs périphériques. La transplantation hépatique (TH), en supprimant la principale source de TTR mutée, a été le seul traitement pendant plus ...

» Les inhibiteurs de l’EGFR de seconde génération n’ont pas fait la preuve d’une grande efficacité dans des populations non sélectionnées de patients ayant des carcinomes épidermoïdes des voies aérodigestives supérieures (VADS) en récidive après échec d’une première ligne ...

» Les mutations d'EGFR sont retrouvées dans environ 10 % des cancers bronchiques, particulièrement dans les adénocarcinomes, chez les femmes et les non-fumeurs. Trois inhibiteurs d'EGFR, l'erlotinib, le géfitinib et l'afatinib, ont obtenu une AMM européenne pour un traitement dès la ...

L es premiers traitements antiviraux, mis sur le marché en 1988, ont considérablement modifi é l’évolution naturelle de l’infection par le VIH. À partir de 1996, l’avènement des inhibiteurs de protéases (IP) et des cART (combination antiretroviral therapy) a littéralement ...

» Parce que la voie PI3K/AKT/mTOR est souvent activée dans les cancers du sein, les inhibiteurs de mTOR (évérolimus et temsirolimus) ont été utilisés dans des essais cliniques de phases I, II et III pour restaurer la sensibilité aux traitements antihormonaux et anti-HER2. De fait, ...

» HER3 (Human Epidermal growth factor Receptor 3) est un récepteur membranaire exprimé principalement dans les cellules épithéliales. Il n'exerce une activité de kinase significative qu'en association avec un autre récepteur, le plus souvent avec l'un des membres de la famille HER. ...

» Le ciblage de l'axe PD-1/PD-L1 représente une avancée importante dans l'immunothérapie des cancers, illustrant l'intérêt du ciblage des checkpoints immunologiques afin de lever l'inhibition exercée par les cellules tumorales sur l'immunité adaptative développée contre elles. Les ...

L'incidence des métastases cérébrales est élevée chez les patients avec un cancer bronchique non à petites cellules. L'approche thérapeutique dépend du nombre et de la présentation des métastases cérébrales ainsi que du statut EGFR. La radiothérapie cérébrale in toto et la ...

La présence de métastases cérébrales (MC) est un événement relativement peu fréquent mais non exceptionnel, leur incidence variant de 5 à 10 % des cas de cancer du rein métastatique (mRCC). Les patients avec des métastases pulmonaires et osseuses semblent plus à risque de développer ...

» Quarante pour cent des patients suivis pour un mélanome métastatique sont porteurs de métastases cérébrales (MC). » Le traitement systémique des MC est indiqué en cas de métastases multiples, inaccessibles à un traitement local seul, ou associées à des métastases viscérales ; ...

Concernant le carcinome hépatocellulaire, l’année 2013 a été marquée par la publication de plusieurs grandes études négatives montrant l’absence d’intérêt de nouveaux inhibiteurs de tyrosine kinase en première ligne dans les carcinomes hépatocellulaires avancés. En deuxième ...

Les premiers traitements antiviraux, mis sur le marché en 1988, ont considérablement modifi é l’évolution naturelle de l’infection par le VIH. À partir de 1996, l’avènement des inhibiteurs de protéases (IP) et des cART (combination antiretroviral therapy) a littéralement ...

Parmi les effets indésirables des traitements anticancéreux, les lésions des muqueuses buccales et gastro-intestinales font partie des plus constants et des plus limitants. Même s'ils ne savent pas totalement les contrôler, les oncologues sont donc familiarisés avec ces toxicités ...

Toutes les recommandations, aussi bien au Nord qu’au Sud, chez les patients vivant avec le VIH (PVVIH) et nécessitant un traitement antituberculeux, préconisent en première ligne un traitement antirétroviral comprenant efavirenz (EFV) et 2 inhibiteurs nucléosidiques de la transcriptase ...

» Les données de la cohorte OASIS indiquent que l’activité de la maladie est corrélée à la progression structurale de la spondylarthrite ankylosante et confortent le concept de “treat-to-target” dans les spondyloarthrites axiales. » L’étude TICOPA montre, pour la première fois, ...