Articles pour « polyneuropathie démyélinisante »

Godil et al. (S56.005) ont rapporté leur expérience de réponse aux différents traitements de leurs patients atteints de polyneuropathie inflammatoire démyélinisante chronique (PIDC ou PRN chroniques). À partir de 40 patients, 60 % ont répondu au traitement de première ligne par Ig ...

Dans le cadre du Congrès D'après le programme et les abstracts de l'AAN

Le syndrome de Gougerot-Sjögren (SGS) est une exocrinopathie auto-immune primitive ou secondairement associée à d'autres maladies auto-immunes. Le SGS est la deuxième maladie auto-immune systémique la plus fréquente après la polyarthrite rhumatoïde, avec une prévalence de 1 à 4 % dans ...

Les neuropathies périphériques inflammatoires sont dues à une immunité cellulaire et humorale et à une activation de la voie du complément. Le rituximab est la biothérapie la plus utilisée, mais les anti­compléments et les anti-FcRn seront peut-être les thérapeutiques du futur. ...

La polyradiculoneuropathie inflammatoire démyélinisante chronique (PIDC) motrice est un variant très rare de PIDC avec des signes exclusivement moteurs, proximodistaux des 4 membres, avec une aréflexie diffuse.La sclérose latérale amyotrophique (SLA), bien plus fréquente, est le ...

Dans toutes les pathologies des nerfs, l'hypertrophie du nerf mise en évidence par une augmentation de surface en coupe axiale est le signe clé à rechercher.L'échographie peut permettre de rattraper les faux négatifs de l'électroneuromyogramme et de réaliser un bilan étiologique dans les ...

Depuis quelques années, des autoanticorps spécifiques des PIDC sont enfin identifiés et ils ont un rôle pathogène démontré. Ils sont presque toujours de type IgG4, n'activant pas le complément. Ces formes ont des particularités cliniques communes et des différences selon le type ...

Depuis quelques années, des autoanticorps spécifiques des PIDC sont enfin identifiés et ils ont un rôle pathogène démontré. Ils sont presque toujours de type IgG4, n'activant pas le complément. Ces formes ont des particularités cliniques communes et des différences selon le type ...

Si l’atteinte médullaire est fréquente dans les affections inflammatoires démyélinisantes de l’enfant, il n’est pas toujours évident de différentier la SEP, le MOGAD (Anti-MOG associated disease) et une atteinte démyélinisante acquise monophasique séronégative de type ADEM.Les ...

Dans le cadre du Congrès D'après l'American Academy of Neurology

Deux observations décrivent une atteinte centrale démyélinisante précédée par une infection par le SARS-Cov-2.Un jeune patient de 5 ans, est hospitalisé 3 semaines après une infection par le SARS-Cov-2, et cela dans un contexte de céphalées, d’irritabilité et d’une parésie d’un ...

Dans le cadre du Congrès E-Journal de l’ACTRIMS - ECTRIMS 2020

Certaines polyradiculonévrites résistent aux traitements usuels. Aziz-Donnelly et al. ont rapporté 11 patients avec neuropathies associée à des auto-anticorps dirigés contre différentes protéines des noeuds de Ranvier, anticorps anti neurofascin-140 (NF140) et/ou neurofascin-155 ...

Dans le cadre du Congrès En direct de l'AAN 2019

La SEP de l'enfant et de l'adolescent est une maladie rare.Elle est beaucoup plus active et inflammatoire que chez l'adulte.Les formes secondairement progressives surviennent beaucoup plus tardivement mais à des âges précoces.L'atteinte cognitive est précoce et à surveiller. ...

Une patiente souffrant de sclérose en plaques (SEP) rémittente après 6 ans de traitement par fingolimod présente, au cours de son suivi, une volumineuse lésion frontale gauche asymptomatique. Elle était traitée par du fingolimod en relais d'un traitement par natalizumab interrompu du ...

Les autoanticorps de classe IgG4, dirigés contre la contactine-1 et la neurofascine-155 présentes dans la structure paranodale, définissent un sous-type spécifique de polyradiculonévrite inflammatoire démyélinisante chronique.Les patients myasthéniques peuvent être divisés en ...

La tête tombante et la camptocormie sont causées par une faiblesse des muscles axiaux (extenseurs du cou et extenseurs du rachis thoracolombaire) ou par une augmentation du tonus de ces muscles. Elles sont caractérisées par leur réductibilité en position allongée. Les causes ...

L’étude prospective observationnelle MaesTTRo est un registre international ayant pour but d’étudier les caractéristiques des patients ATTR, leur prise en charge et leur évolution, avec un suivi tous les 6 mois. Cette analyse rapporte les données des ...

Dans le cadre du Congrès Actualités au congrès de l'European Society of Cardiology

RÉSUMÉ L’oreille moyenne-interne constitue le support anatomique et une voie de passage de nombreux nerfs : le nerf vestibulo-cochléaire VIII, le nerf facial VII et l’innervation orthosympathique de l’œil. Les otites peuvent ...

Les maladies et troubles métaboliques forment un groupe étiologique majeur de neuropathies périphériques et méritent bien qu’on y consacre un dossier ! S’il peut paraître difficile de faire preuve d’originalité lorsque l’on évoque la neuropathie diabétique, la mise au point ...

La granulomatose éosinophilique avec polyangéite est une vascularite rare associée aux anticorps anticytoplasme des polynucléaires neutrophiles, caractérisée par un asthme sévère, une hyperéosinophilie et des atteintes systémiques, en particulier pulmonaires, cardiaques et neurologiques. ...

Les maladies à prions sont, chez l’homme, des maladies rares, transmissibles expérimentalement, rapidement et constamment fatales. Elles ont occasionné plusieurs crises sanitaires et font l’objet d’une surveillance active. La diversité de leur présentation clinique rend parfois leur ...

La tête tombante et la camptocormie sont causées par une faiblesse des muscles axiaux (extenseurs du cou et extenseurs du rachis thoracolombaire) ou par une augmentation du tonus de ces muscles. Elles sont caractérisées par leur réductibilité en position allongée. Les causes ...