Résultats pour « survie sans progression »

Les résultats de survie globale de l’étude ARCHES, évaluant l’enzalutamide dans le cancer de la prostate sensible à la castration, ont été présentés lors de cet ESMO. On rappelle que les résultats de survie sans progression radiologique, critère de jugement principal, avaient déjà ...

Dans le cadre du Congrès ESMO - Actualités en onco-urologie

L’allogreffe est une option dans la stratégie thérapeutique des lymphomes T. Des études rétrospectives ont rapporté une survie sans rechute de 31 % à 3 ans pour les patients allogreffés pour un lymphome T. Les auteurs ont présenté ici la plus large étude rétrospective portant sur ...

Dans le cadre du Congrès Actualités dans la Greffe et la Leucémie aiguë myéloïde

L'adénocarcinome pancréatique est l'un des cancers dont le pronostic est le plus sombre, principalement en raison d'un diagnostic fréquent à un stade avancé et d'une forte chimiorésistance. L'hétérogénéité tumorale est évidente au niveau histologique, parmi les tumeurs et même au sein ...

L'immunothérapie des cancers représente une nouvelle approche en oncohématologie, qui vient compléter celles des médicaments cytotoxiques, de l'hormonothérapie et des thérapies ciblées. En parallèle de leur mécanisme d'action original (molécules anti-CTLA-4, anti-PD-1 et ...

L'immunothérapie des cancers représente une nouvelle approche en oncohématologie, qui vient compléter celles des médicaments cytotoxiques, de l'hormonothérapie et des thérapies ciblées. En parallèle de leur mécanisme d'action original (molécules anti-CTLA-4, anti-PD-1 et ...

Les maladies cardiovasculaires représentent la première cause de mortalité de la femme. Parmi ces maladies cardiovasculaires, l’infarctus du myocarde se singularise par une augmentation de l’incidence et un pronostic plus sombre chez la femme, notamment la femme jeune. La ...

Chirurgies des cancers du sein chez la femme de moins de 40 ans : mastectomie ou traitement conservateur Camille Mimoun Les cancers du sein chez les femmes jeunes (< 40 ans au moment du diagnostic) sont des événements rares, mais dont ...

Environ 75  % des cancers du sein sont associés à une expression des récepteurs hormonaux (RH). Pour les tumeurs RH+ et HER2–, l’hormonothérapie adjuvante (HA) est la pierre angulaire du traitement, car elle allonge l’espérance de vie, au prix d’effets indésirables qui parfois, ...

La chirurgie reste la meilleure option thérapeutique à visée curative dans le cancer bronchique non à petites cellules (CBNPC) chez un patient opérable et dont la tumeur est résécable [1]. Pour tenter de guérir un CBNPC ­localement avancé, il est crucial de contrôler à la fois la ...

Après avoir révolutionné la prise en charge des patients porteurs de cancers bronchiques localement avancés et métastatiques, l’immunothérapie poursuit son développement pour les formes localisées où de nouvelles alternatives à la chimiothérapie et ses 5 % de bénéfice de survie à 5 ...

Dans le cadre du Congrès Expériences en onco-thoracique

L’essai MonarchE évaluait l’impact sur la survie sans récidive de l’adjonction de l’inhibiteur de CDK4/6 abémaciclib pendant 2 ans au traitement d’hormonothérapie adjuvant chez des patientes traitées pour un cancer du sein RH+ HER2 négatif avec une atteinte ganglionnaire ...

Dans le cadre du Congrès Expériences en oncologie sénologie

L'irradiation à forte dose (≥ 76 Gy à 2 Gy/séance) associée ou non à un traitement androgénosuppresseur (néo)adjuvant est un standard de prise en charge des cancers localisés de la prostate. Les résultats restent néanmoins perfectibles pour les patients classés à risque ...

Certains patients présentent une pneumopathie interstitielle diffuse avec des signes auto-immuns sans toutefois remplir les critères d'une connectivite. La récente définition de l'IPAF (pneumopathie interstitielle avec manifestations auto-immunes), élaborée par un groupe de travail de ...

Certains patients présentent une pneumopathie interstitielle diffuse avec des signes auto-immuns sans toutefois remplir les critères d'une connectivite. La récente définition de l'IPAF (pneumopathie interstitielle avec manifestations auto-immunes), élaborée par un groupe de travail de ...

Chez les femmes non ménopausées, l'hormonothérapie de référence est le tamoxifène. En cas de tumeur à haut risque, ainsi que chez les femmes très jeunes, une suppression ovarienne associée à un inhibiteur de l'aromatase (ou, de façon moins consensuelle, au tamoxifène) peut être ...

Chez les femmes non ménopausées, l'hormonothérapie de référence est le tamoxifène. En cas de tumeur à haut risque, ainsi que chez les femmes très jeunes, une suppression ovarienne associée à un inhibiteur de l'aromatase (ou, de façon moins consensuelle, au tamoxifène) peut être ...

Les résultats des études CABINET (cabozantinib) et NETTER-2 (RIV au Lutathera®) sont une avancée dans le traitement des tumeurs neuroendocrines, car les essais de phase III dans ce domaine sont rares, et ils ouvrent la voie à de nouvelles options ...

La question de la réintroduction ou du maintien d'un inhibiteur de CDK (iCDK) après progression sous la même classe de médicament reste actuellement posée. Plusieurs essais (MAINTAIN, PALMIRA, PACE) ont donné des résultats contradictoires sur cette ...

Dans le cadre du Congrès Cancers féminins

On connaît tous largement les résultats de l'étude de phase III PACIFIC qui a introduit les inhibiteurs de points de contrôle de l'immunité dans l'arsenal thérapeutique des CBNPC de stade localement avancé. Cette stratégie d'immuno­thérapie de consolidation s'est depuis largement ...

Inhibiteurs de PARP en 1re ligne pour toutes les patientes atteintes d'un cancer de l'ovaire ? avec ou sans bévacizumab ?L'immunothérapie devrait s'imposer pour les cancers de l'endomètre avancés présentant une déficience MMR.Cancers du col avancés : immunothérapie par thérapie ...