Articles pour « Prise en charge non pharmacologique »

Bien que la plupart des patients infectés par le SARS-CoV-2 présentent une maladie respiratoire de forme modérée à sévère dont les symptômes apparaissent entre 2 et 14jours après le contage, certaines personnes sont diagnostiquées positives par PCR, mais restent asymptomatiques. Elles ...

Ces dernières années, la survenue d'aspergillose pulmonaire invasive (API), en réanimation, chez des patients non immunodéprimés, hospitalisés en raison de grippes sévères H1N1, a été observée. Une telle complication était donc à redouter chez les patients infectés par le SARS-CoV-2. ...

Le SARS-CoV-2, agent de la Covid-19, partage beaucoup d'analogies avec les autres coronavirus dont les principales sont la transmission respiratoire et la rapidité de la propagation épidémique. Nous aurions été bien inspirés de nous en rappeler au moment de l'arrivée de la pandémie de ...

La Covid-19 est responsable d'une anosmie dans plus d'un tiers des cas. ...

La relative “protection” des enfants face au SARS-CoV-2 – y compris les enfants atteints d'une pathologie pulmonaire sous-jacente – n'est pas complètement élucidée. Plusieurs hypothèses ont été avancées et concernent la réponse immune innée et adaptative des enfants. ...

L'enrichissement de l'éclairage artificiel en lumière bleue (LED) peut entraîner des perturbations du rythme nycthéméral.La toxicité rétinienne de la lumière bleue est démontrée sur des modèles animaux.L'Anses recommande de limiter l'exposition des enfants à ce type d'éclairage. ...

Le défaut de réparation de l'ADN par recombinaison homologue (HRD) est fréquent dans les cancers du sein et de l'ovaire, mais également de la prostate et du pancréas.L'importance de l'HRD dans la décision de traiter ou non le patient par des inhibiteurs de PARP fait du diagnostic de l'HRD un ...

En 2018, l'essai LAM-SA 2007 du FILO [1] avait démontré que l'adjonction de lomustine (un alkylant per os) à une induction de type ”7 + 3” puis aux consolidations non intensives, réduisait l'incidence de la rechute chez les patients de plus de 60 ans atteints d'une leucémie ...

La stéatose hépatique non alcoolique (NAFLD) est associée à une augmentation du risque d'événement cardiovasculaire indépendamment des autres facteurs de risque connus. Bien que cela soit sujet à débat, plusieurs études suggèrent que ce risque serait d'autant plus important que la ...

Le traitement de 1re ligne de la cholangite biliaire primitive (CBP) est l'acide ursodésoxycholique (AUDC), à la dose de 13 à 15 mg/kg/j et poursuivi à vie.Le but est d'obtenir la normalisation du bilan hépatique à 12 mois de traitement.Deux traitements, en poursuivant l'AUDC, ont montré un ...

La prévention des éventrations péristomiales (EPS) repose sur la mise en place d'une prothèse synthétique non résorbable lors de la confection d'une colostomie terminale définitive (grade A). La réparation des EPS par raphie n'est pas recommandée (grade B). La réparation prothétique des ...

Ce cas clinique présente le suivi d'une patiente obèse atteinte de diabète mitochondrial sur une période de près de 14 ans [1]. Ce diabète touche une proportion faible mais non négligeable de la population diabétique. La mutation la plus fréquemment mise en cause, et dont notre patiente ...

Chez les patients atteints d’un mésothéliome pleural, le traitement systémique standard depuis de nombreuses années est la chimiothérapie à base de sel de platine et pémétrexed. Il y a quelques années, une augmentation significative de la survie globale a été obtenue dans un essai ...

Dans le cadre du Congrès Expériences en onco-thoracique

Les inhibiteurs de CDK4/6 (palbociclib, ribociclib et abémaciclib) en association à l’hormonothérapie se sont révélés une option majeure à la phase métastatique et sont donc désormais le standard de 1re ligne (1). En ce qui concerne le cancer au stade précoce, les données sont ...

Dans le cadre du Congrès Expériences en oncologie sénologie

L'activation de la voie PI3K/AKT est présente dans environ 40 % des cancers du sein RH positif/HER2 négatif, et constitue un facteur de mauvais pronostic en phase métastatique. Après avoir montré un bénéfice en terme de survie sans progression (SSP) dans l’essai SOLAR-1, ...

Dans le cadre du Congrès Expériences en oncologie sénologie

Le carcinome rénal papillaire (RCCp) représente environ 15 % des cas de cancer du rein et le traitement standard dans cette indication est l’utilisation d’un antiangiogénique. Cependant le proto-oncogène MET semble avoir un rôle clé dans le développement du RCCp. L’étude de phase II ...

Dans le cadre du Congrès Actualités à l’ASCO^® GU

Propos recueillis par Denise SilberLe Dr Pascal De March, chirurgien-dentiste, est maître de conférences des universités, praticien hospitalier à la faculté d’odontologie de Lorraine et responsable du département de prothèses. Il exerce aussi une activité libérale à Metz et est ...

Dans le cadre du Congrès Le Praticien Connecté

L’enfortumab-védotin (EV) est un anticorps conjugué dirigé contre la protéine de surface Nectin-4 surexprimée dans la grande majorité des cellules carcinomateuses urothéliales. Cet anticorps est couplé au MMAE (MonoMéthyle Auristatine E), un anti-microtubule puissant qui n’est ...

Dans le cadre du Congrès Actualités à l’ASCO^® GU

L’association pembrolizumab + axitinib a démontré dans l’étude KEYNOTE-426 un allongement significatif de la survie globale et de la survie sans progression comparativement au sunitinib (Powles T et al., Lancet Oncol 2020 ; 21(12) : 1563-73).  L’analyse exploratoire présentée lors ...

Dans le cadre du Congrès Actualités à l’ASCO^® GU

L’étude SAKK 06/17 avait pour objectif d’évaluer une association de chimiothérapie à base de platine et d’inhibiteur de point de contrôle immunitaire en situation néoadjuvante chez des patients avec carcinome urothélial envahissant le muscle. Il s’agit d’un essai de phase II à un ...

Dans le cadre du Congrès Actualités à l’ASCO^® GU