Articles pour « chimiothérapie de maintenance »

VELIA est la 1re étude de phase III randomisée versus placebo à tester le véliparib en combinaison au carboplatine-paclitaxel (CP) en 1re ligne puis en maintenance chez les patientes avec un cancer de l’ovaire séreux de haut grade stade III ou IV. 1 140 patientes ont été randomisées ...

Dans le cadre du Congrès ESMO 2019 - Actualités en onco-gynécologie

Les congrès de l’ESMO IO (Immuno-Oncology) et de l’ESMO Asia clôturent l’année 2024, et apportent des données supplémentaires en complément des congrès de l’ESMO et de l’ASCO®, avec les résultats de plusieurs ...

Le traitement du mésothéliome pleural évolue, avec de nouvelles données sur l'utilisation des immunothérapies en première ligne.En situation réfractaire, l'adjonction du ramucirumab à la monochimiothérapie semble pertinente.La cohorte française RYTHMIC contribue à une amélioration des ...

AVANT-PROPOS – Médecine génomique : prévention et innovation thérapeutique – Sommes-nous prêts pour une médecine personnalisée ?D'après le 4e congrès de la SFMPPLes nouvelles technologies, et en particulier le séquençage du génome, constituent de nouveaux outils pour combattre les ...

Cancer de la prostateCancer de la prostate métastatique sensible à la castration L'essai ARASENS a été présenté en communication orale. Le darolutamide est un inhibiteur du récepteur des androgènes (RA) qui a comme particularité de moins passer la barrière hématoencéphalique et de ce ...

Plusieurs essais ont évalué la place des ITK-EGFR en périopératoire dans le CBNPC avec mutation EGFR de stade IB à IIIA.Les essais de phase III évaluant les ITK-EGFR de 1re génération erlotinib et géfitinib en adjuvant montrent un bénéfice sur la survie sans rechute sans bénéfice ...

Plusieurs essais ont évalué la place des ITK-EGFR en périopératoire dans le CBNPC avec mutation EGFR de stade IB à IIIA.Les essais de phase III évaluant les ITK-EGFR de 1re génération erlotinib et géfitinib en adjuvant montrent un bénéfice sur la survie sans rechute sans bénéfice ...

L’indication d’une chimiothérapie adjuvante en cas d’atteinte ganglionnaire axillaire reste un standard de traitement dans une grande majorité des cas. L’essai TAILORx avait évalué une signature génomique (Oncotype DX®) basée sur un score de niveau d’expression de 21 gènes sur ...

Dans le cadre du Congrès D'après le San Antonio Breast Cancer Symposium 2023

Le lymphome de Hodgkin est le cancer le plus sensible aux anti-PD-1, avec des taux de réponse de l'ordre de 70 %. Ces traitements pourraient offrir une guérison définitive à certains patients, en particulier à ceux chez qui une rémission complète est obtenue. Chez ces sujets, la question ...

La vaccination anti-HPV entraîne une forte diminution des infections HPV de l'oropharynx, mais il faudra attendre de nombreuses années pour voir son efficacité sur les cancers de l'oropharynx.Dans les cancers du cavum localement avancés, la chimiothérapie d'induction améliore ...

L'évaluation cardiaque avant l'administration d'une chimiothérapie est nécessaire chez les patients symptomatiques (dyspnée, angor, douleur thoracique).Les patients asymptomatiques présentant plus de 2 facteurs de risque cardiovasculaire, un antécédent de cardiopathie structurelle ou un ...

La séquence thérapeutique d’une chimio-immunothérapie d’induction puis d’une radiochimiothérapie concomitante suivie d’une immunothérapie de maintenance, évaluée dans l’étude de phase II APOLO, permet l’obtention d’une efficacité intéressante au prix d’une toxicité qui ...

La réhabilitation respiratoire est un élément essentiel de la prise en charge des maladies pulmonaires obstructives telles que la BPCO, mais les bénéfices diminuent en 6 à 12 mois sans stratégie de maintenance. Des programmes de maintenance efficaces à long terme sont donc ...

Dans le cadre du Congrès En direct de l'ERS 2019

L’ajout de l’immunothérapie (durvalumab) en consolidation pendant 2 ans après une radiochimiothérapie (étude ADRIATIC) améliore la survie globale (SG) médiane à 55,9 contre 33,4 mois pour les cancers bronchiques à petites cellules (CPC) localisés. L’ajout du bévacizumab au ...

Le cancer de la vessie du sujet âgé est une pathologie qui, au-delà de sa gravité, a un impact important à court terme sur la qualité de vie et l'autonomie des patients. Les interventions thérapeutiques possibles peuvent elles aussi altérer ces domaines, fondamentaux dans cette population. ...

Jusqu’au milieu des années 1960, la chirurgie était considérée comme le principal traitement des cancers bronchiques non à petites cellules (CBNPC) à chaque fois qu’ils semblaient localisés (stades I et II) et souvent lorsqu’ils étaient étendus (stades III). Réservée aux ...

L'osimertinib reste actuellement le traitement de référence en 1re ligne pour les CBNPC EGFR muté avancés.La chimiothérapie à base de platine demeure la principale option thérapeutique après la progression sous osimertinib.L'efficacité des inhibiteurs de points de contrôle immunitaire ...

Pas de bénéfice évident de la chimiothérapie adjuvante chez les patientes âgées dans les cancers RH+ HER2− à haut risque génomique. ...

La télémédecine a bénéficié de la pandémie liée à la Covid-19 pour s'intégrer dans la pratique quotidienne médicale et, a fortiori, en cancérologie. Dans ce contexte, prévenir les toxicités des traitements, anticiper ou éviter que les patients ne reviennent à l'hôpital pour des ...

Avec la présentation en séance plénière des résultats des études de phase III VISION, dans les cancers de la prostate métastatiques résistants à la castration, et de KEYNOTE-564, dans les cancers du rein localisés à haut risque, l'onco-urologie a encore une fois été à l'honneur lors ...