Articles pour « carcinome rénal papillaire »

Le traitement des carcinomes papillaires du rein métastatiques n’est pas clairement défini, même si les combinaisons d’un inhibiteur de tyrosine kinase (ITK) antiangiogénique et d’un inhibiteur de checkpoint immunologique (ICI) apparaissent comme ...

Le bélatacept est une solution intéressante pour remplacer les anticalcineurines et permet une meilleure sauvegarde de la fonction rénale chez les receveurs d’organes solides. Les indications sont de plus en plus larges pour cette molécule inhibitrice de la ...

Les inhibiteurs de SGLT2 sont la 1re classe thérapeutique ayant montré leur effet néphroprotecteur depuis les bloqueurs du système rénine-angiotensine-aldostérone. Ils réduisent la protéinurie, ralentissent la dégradation de la ...

L’ensemble des carcinomes papillaires (de types 1 et 2) représente 15 % des cancers du rein. Dans 80 % des cas, il existe une régulation positive (up-regulation) de MET. Mais le statut MET a-t-il un impact clinique ? Il existe peu d’essais ...

Environ 10 à 15 % des patients atteints d'un cancer du rein se présentent de novo avec une maladie métastatique et environ 20 % vont développer des métastases au cours du temps. Le scanner, l'IRM et les échographies sont actuellement les examens d'imagerie recommandés. La ...

Ces dernières décennies ont été marquées par la recherche de biomarqueurs circulants, avec un intérêt particulier pour les biopsies liquides par la détection des cellules tumorales circulantes (CTC) ou de l'ADN tumoral circulant (ADNtc), pour aider à la détection précoce et à la ...

Le diagnostic de diabète phosphaté ou de fuite rénale de phosphate est biologique et repose sur la ­constatation d'un défaut de réabsorption tubulaire rénale de phosphate (taux de réabsorption des phosphates (TRP) diminué ou mieux, transport rénal maximal de phosphate ...

La pandémie de Covid-19 a une nouvelle fois eu raison d'un grand congrès en présentiel. Pour autant, la diabétologie ne s'est pas arrêtée pendant ces longs mois de crise sanitaire ; la continuité des soins a été assurée et la recherche clinique et fondamentale, indispensable pour ...

Le nivolumab et le cabozantinib sont des standards thérapeutiques en 2e ligne après traitement par un antiangiogénique dans les carcinomes du rein à cellules claires métastatiques. Comparés à l'évérolimus, ils ont montré une amélioration de la survie globale dans les études de ...

La perte de fonction d'un greffon rénal est devenue l'une des premières causes d'insuffisance rénale terminale en France. Tandis que le taux de complications médicales et chirurgicales de la retransplantation est élevé, cette dernière demeure la meilleure option thérapeutique chez les ...

Plusieurs essais ont évalué différentes séquences d'antiangiogéniques dans le cancer du rein à cellules claires avancé afin d'optimiser la prise en charge. Historiquement, le sorafénib a été en 2005 le premier antiangiogénique agréé dans le cancer du rein métastatique après les ...

L'activité physique s'associe à une amélioration de plusieurs critères intermédiaires de la néphropathie diabétique, notamment de la pression artérielle et de l'équilibre glycémique.Les données d'observation suggèrent un bénéfice de l'activité physique sur la néphropathie ...

 Le traitement de première ligne des cancers du rein à cellules claires avancés (1) faisait appel au sunitinib ou au pazopanib avant les résultats de l'étude CheckMate 214, qui a comparé la combinaison nivolumab + ­ipilimumab au sunitinib et montré un avantage en ...

Les métastases patellaires des cancers solides sont extrêmement rares. Seuls 24 cas ont été rapportés dans la littérature, dont 3 consécutifs à un carcinome rénal. Une douleur du genou constitue le mode de révélation le plus fréquent. Le traitement est le plus souvent local, ...

Difficile de dire que l'on s'habitue aux congrès virtuels, néanmoins nous attendions fidèlement ce rendez-vous annuel de présentation des données de recherche clinique ou transversale.Si dans le domaine génito-urinaire, le congrès a fait la part belle au cancer de la prostate, en plénière ...

TG4050 est un vaccin anticancéreux personnalisé à base virale. Aucune rechute n’est survenue dans le groupe vacciné (17 patients). Le pembrolizumab périopératoire, un nouveau standard dans les cancers ORL localement avancés résécables ? Nouveau standard ? L’association ...

L’ESMO 2024 a une nouvelle fois mis en évidence les progrès majeurs accomplis dans le carcinome urothélial. Pour les patients éligibles au cisplatine atteints d’une tumeur infi ltrante localisée, l’ajout du durvalumab en ...

Ces 2 journées très riches, consacrées à la pathologie mammaire ont permis de faire un tour d'horizon des nouveautés tant sur le plan organisationnel que sur les plans technique, diagnostique et contrôle qualité.Le délai de réalisation des examens anatomopathologiquesG. MacGrogan, ...

La classification histopathologique des tumeurs épithéliales thymiques distingue 2 principaux types tumoraux : les thymomes et les carcinomes thymiques. L'évaluation de la résécabilité représente la 1re étape du traitement d'une tumeur thymique. En effet, la résection complète ...

Le carcinome à petites cellules de la prostate de novo est une entité histologique rare, avec moins de 150 cas rapportés dans la littérature (1, 2). Devant le caractère fréquemment multimétastatique inaugural et le pronostic très sombre à court terme, un traitement symptomatique exclusif ...