Articles pour « pseudo-polyarthrite rhizomélique »

Durée de l’antibiothérapie au cours des spondylodiscites infectieuses : 6 semaines suffisent !Les bursites interépineuses sont fréquentes dans la pseudo-polyarthrite rhizomélique, mais ne sont pas associées à la douleur rachidienne[...] ...

Les progrès thérapeutiques des traitements ciblés ont considérablement amélioré le pronostic de la ­polyarthrite rhumatoïde (PR). Cependant, malgré une prise en charge optimale, de nombreux patients restent symptomatiques ...

Dans la polyarthrite rhumatoïde (PR) et dans la sclérose en plaques (SEP), il existe une fenêtre ­d'opportunité thérapeutique. Dans la PR, le diagnostic précoce et l'instauration rapide d'un 1er traitement de fond csDMARD (méthotrexate (MTX)) conditionnent l'obtention plus fréquente ...

Dans la polyarthrite rhumatoïde (PR) et dans la sclérose en plaques (SEP), il existe une fenêtre ­d'opportunité thérapeutique. Dans la PR, le diagnostic précoce et l'instauration rapide d'un 1er traitement de fond csDMARD (méthotrexate (MTX)) conditionnent l'obtention plus fréquente ...

La leucémie à grands lymphocytes granuleux (large granular lymphocytes, LGL) correspond à un syndrome lymphoprolifératif rare caractérisé par une expansion clonale de lymphocytes T ou natural killer (NK). La classification OMS distingue 3 entités. Les leucémies LGL ont une évolution le ...

Le rhumatisme à cristaux de pyrophosphate de calcium (PPC) est très fréquent bien que méconnu. L’échographie offre une meilleure sensibilité que la radiographie dans la détection de la chondrocalcinose. La colchicine et la prednisone en ...

D'après les interventions d'Emmanuel Bachy, Lucile Baseggio, Richard Delarue, Laurence de Leval, Philippe Gaulard, Christine Lefebvre, Elizabeth Macintyre et Franck Trimoreau. Les syndromes lymphoprolifératifs T et NK matures sont des pathologies relativement rares. Ils représentent 6 % ...

Près de 20 % des patients atteints d’un syndrome myélo­dysplasique (SMD) présentent des manifestations auto-immunes/auto-inflammatoires systémiques associées (SIAD), dont des arthropathies inflammatoires, des connectivites, des cytopénies auto-immunes, des vascularites systémiques et ...

Les atteintes oculaires de la polyarthrite rhumatoïde (PR) sont importantes à prendre en compte, car elles peuvent mettre en jeu le pronostic visuel. La sécheresse oculaire est l’atteinte la plus fréquente et s’accompagne de signes de kératite. En ­l’absence de poussée et de ...

Le zona est une infection fréquente et responsable de complications modérées à sévères Les patients atteints de rhumatismes inflammatoires chroniques et maladies auto-immunes forment une population à risque de zona.  Les mécanismes de ...

L’électrothérapie est une approche intéressante dans la douleur, notamment chronique, car elle permet de moduler les systèmes électriques impliqués dans ses mécanismes. Elle doit faire partie de l’arsenal d’approches complémentaires en rhumatologie et est appelée à ...

Le développement de nouvelles thérapeutiques est coûteux et des innovations méthodologiques ­pourraient être des pistes pour contourner ce frein à leur développement. Néanmoins, les risques éthiques, les risques méthodologiques et les difficultés à généraliser les résultats ...

Les inhibiteurs des Janus kinases (iJAK) sont des petites molécules administrées par voie orale qui ont démontré leur efficacité dans le traitement des MICI. Nous disposons désormais de 3 iJAK en traitement des MICI : le tofacitinib, le ...

Les infections sont plus fréquentes dans les phases asymptomatique et symptomatique précédant l'apparition d'une polyarthrite rhumatoïde (PR).Chez les sujets anti-CCP-IgG+, la présence d'au moins 1 autoanticorps (anti-CCP ou facteur rhumatoïde) dans les crachats multiplie par 4 le risque ...

R. subdoligranulum est capable d'activer le système immunitaire digestif avec production d'anticorps avec une réactivité croisée pour des autoantigènes d'intérêt dans la polyarthrite rhumatoïde (PR), qui vont conduire au développement d'une inflammation articulaire.La présence de ...

La prise en charge thérapeutique de la polyarthrite rhumatoïde (PR) a connu de profonds changements au cours des 20 dernières années, liés en partie aux progrès dans la connaissance des mécanismes physiopathologiques permettant d'identifier des cibles ...

Le védolizumab est une anti-intégrine indiquée dans le traitement de la maladie de Crohn et de la recto­colite hémorragique (RCH) réfractaire aux traitements conventionnels et anti-TNF. Il vient d'obtenir son remboursement dans la RCH en 1re ligne de traitement. L'ustékinumab est un ...

Toute grossesse doit être programmée chez les patientes souffrant de pathologies rhumatismales inflammatoires.Les femmes suivies pour un rhumatisme inflammatoire semblent avoir moins recours à une méthode contraceptive.Le choix d'une contraception chez ces patientes doit tenir compte de son ...

Les corticoïdes sont un traitement efficace de la polyarthrite rhumatoïde (PR) mais, du fait de leurs effets indésirables, ils doivent être utilisés avec prudence.Une évaluation du rapport bénéfice/risque des corticoïdes dans la PR doit être systématique, même pour les faibles ...

Le retentissement de la polyarthrite rhumatoïde sur le parcours professionnel reste une réalité pour les patients qui en sont atteints. La maladie influe sur la productivité avec un effet particulièrement délétère du présentéisme et des ­conséquences qui concernent autant ...