Résultats pour « nouveaux autoanticorps »

Ce dernier jour de l’EULAR nous réserve encore une belle surprise dans la maladie de Sjögren. Les résultats d’une étude de phase II avec un anticorps monoclonal au mécanisme d’action original ont été présentés en Late ...

Dans le cadre du Congrès En direct de l’European Alliance of Associations for Rheumatology

Plusieurs traitements utilisés en onco-hématologie ciblent le plasmocyte, impliqué dans les dyscrasies plasmocytaires, mais également la production d’autoanticorps dans le cadre de l’auto-immunité. Le daratumumab est un anticorps monoclonal anti-CD38 ...

Dans le cadre du Congrès En direct de l’European Alliance of Associations for Rheumatology

Les anticorps bispécifiques bispecific T-cell engagers, ou BiTE, tuent les lymphocytes B en engageant les lymphocytes T. Ces molécules se fixent à la fois sur les lymphocytes T cytotoxiques CD3+ et sur les lymphocytes B CD19+, ce qui permet la destruction de ces derniers par ...

Dans le cadre du Congrès En direct de l’European Alliance of Associations for Rheumatology

Malgré l’absence d’autorisation de mise sur le marché pour des médicaments dans la maladie de Sjögren (MS), le rituximab est une molécule régulièrement utilisée, en particulier dans les formes hématologiques, neurologiques et ...

Dans le cadre du Congrès En direct de l’European Alliance of Associations for Rheumatology

Dans le lupus systémique (LS), les lymphocytes B producteurs d’autoanticorps surexpriment le récepteur de la cytokine BAFF (BAFF-R). En outre, une déplétion lymphocytaire B induit l’augmentation des taux circulants de BAFF, ce qui pourrait augmenter le ...

Dans le cadre du Congrès En direct de l’European Alliance of Associations for Rheumatology

L’essai Early AMPLE avait suggéré que, dans la polyarthrite rhumatoïde (PR) débutante, un profil clinique caractérisé par une réponse inadéquate au méthotrexate (MTX), une double immunopositivité et la présence de ...

Dans le cadre du Congrès En direct de l’European Alliance of Associations for Rheumatology

Les polyarthrites séronégatives évoluant depuis plus de 6 semaines représentent une entité hétérogène. L’existence de signes généraux (notamment d’une composante auto-inflammatoire), les caractéristiques de l’atteinte articulaire et la mise en évidence d’une atteinte ...

Les patientes atteintes de rhumatismes inflammatoires chroniques, et surtout celles ayant un lupus systémique et/ou un syndrome des antiphospholipides, sont à risque de complications cardiovasculaires aiguës pendant leur grossesse ou en post-partum immédiat. Un outil ...

La polyarthrite rhumatoïde est une maladie auto‑immune à tropisme articulaire bien connue des ophtalmologistes car elle s’associe à des atteintes oculaires caractéristiques qui peuvent mettre en jeu le pronostic visuel. Il s’agit avant tout de la ...

Le récepteur à BAFF (BAFF(R)) est exprimé par les lymphocytes B, notamment les lymphocytes B mémoires, et les plasmablastes, qui sont responsables de la production d’autoanticorps. Le ianalumab est un anticorps monoclonal ciblant BAFF(R) qui a une double ...

Dans le cadre du Congrès En direct du congrès de l’American College of Rheumatology

Les traitements médicamenteux de la poly­arthrite rhumatoïde (PR) sont classiquement identifiés comme traitements symptomatiques (anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) et antalgiques) et traitements de fond, ou DMARD (disease-modifying ...

Dans la SEP-RR active, plusieurs études en vie réelle ont récemment apporté des éléments en faveur de l’utilisation d’emblée d’un traitement de fond de haute efficacité, en montrant que cette stratégie réduit ...

Les effets indésirables endocriniens sont fréquents et doivent systématiquement être dépistés. Hypophysite et thyroïdite peuvent se succéder, d’où l’importance d’interpréter correctement les dosages hormonaux (TSH et T4 libre). Contrairement aux autres effets indésirables, ils ...

Les inhibiteurs de checkpoint immunitaire utilisés en oncologie peuvent entraîner des toxicités neurologiques immuno-induites sévères, dont les plus fréquentes sont la myosite, la polyradiculoneuropathie et les encéphalites. Il existe une ...

La coordination des professionnels de santé (unités dédiées) et du réseau ville/hôpital est primordiale pour optimiser la prise en charge des patients bénéficiant d'une thérapie orale anticancéreuse. Le projet d'expérimentation de suivi à domicile des patients sous traitements ...

RÉSUMÉLa fièvre trop fréquente est un motif de consultation courant en pédiatrie et une source d'inquiétude pour les parents. Le diagnostic différentiel des fièvres récidivantes est large et implique une démarche clinique rigoureuse. Après avoir exclu l'étiologie infectieuse, il n'est ...

Les patientes lupiques sont insuffisamment vaccinées contre le papillomavirus humain (HPV), malgré un risque accru de dysplasie cervicale pouvant mener à des carcinomes cervico-utérins.Le rapport bénéfice/risque des traitements prophylactiques de la pneumocystose chez les patients lupiques ...

Les données de tolérance des traitements ciblés dans les rhumatismes inflammatoires sont tout à fait rassurantes pour ce qui concerne les biomédicaments. Pour les inhibiteurs de JAK, les données restent rassurantes, même si une grande prudence demeure nécessaire, notamment avec le ...

Durée : 12:19 ...

Dans le cadre du Congrès Les messages pour nos jeunes experts rhumatologues

Dans la pratique courante, les anti-JAK sont principalement utilisés chez les patients atteints de PR en échec de DMARD biologiques (bDMARD). Il n'y a pas de données comparant l'efficacité d'un anti-JAK et d'un agent biologique après échec d'un premier anti-JAK chez les patients atteints de ...