Résultats de la recherche

L’association adagrasib et pembrolizumab en 1re ligne (essai KRYSTAL-7) en cas de forte expression de PD-L1 permet un taux de réponse de 59 % et une survie sans progression (SSP) de 22,7 mois. L’association fulzerasib + cétuximab en 1re ligne (essai KROCUS) permet un taux de réponse ...

Les stratégies d’immunothérapie périopératoire sont associées à un bénéfice en survie sans événement possiblement supérieur à celui d’une stratégie d’immunothérapie néoadjuvante, en l’absence de réponse pathologique complète. La chimio-immunothérapie néoadjuvante et ...

La séquence thérapeutique d’une chimio-immunothérapie d’induction puis d’une radiochimiothérapie concomitante suivie d’une immunothérapie de maintenance, évaluée dans l’étude de phase II APOLO, permet l’obtention d’une efficacité intéressante au prix d’une toxicité qui ...

La recherche des drivers oncogéniques ne doit pas être limitée au simple fait de l’âge. En cas d’expression de PD-L1 ≥ 50 % et si PS 0-1, le pembrolizumab, le cémiplimab ou l’atézolizumab peuvent être utilisés en monothérapie en 1re ligne. En cas d’expression de PD-L1 ...

L’essai de phase III EVOKE-01, comparant le sacituzumab govitécan (anticorps anti-TROP2) au docétaxel en 2e ligne des CBNPC de stade avancé, est négatif sur son objectif principal (survie globale). L’efficacité d’un autre anti-TROP2, le datopotamab déruxtécan, a été confirmée ...

La recherche des drivers oncogéniques ne doit pas être limitée au simple fait de l’âge. En cas d’expression de PD-L1 ≥ 50 % et si PS 0-1, le pembrolizumab, le cémiplimab ou l’atézolizumab peuvent être utilisés en monothérapie en 1re ligne. En cas d’expression de PD-L1 ...

La recherche des drivers oncogéniques ne doit pas être limitée au simple fait de l’âge. En cas d’expression de PD-L1 ≥ 50 % et si PS 0-1, le pembrolizumab, le cémiplimab ou l’atézolizumab peuvent être utilisés en monothérapie en 1re ligne. En cas d’expression de PD-L1 ...

L’essai de phase Ib TROPION-Lung02 a étudié un anticorps conjugué anti-TROP2 (datopotamab déruxtécan, Dato-DXd) dans les CBNPC de stade avancé, en association avec le pembrolizumab ± sels de platine, en 1re ligne ou ...

L'osimertinib reste actuellement le traitement de référence en 1re ligne pour les CBNPC EGFR muté avancés.La chimiothérapie à base de platine demeure la principale option thérapeutique après la progression sous osimertinib.L'efficacité des inhibiteurs de points de contrôle immunitaire ...

Les progrès révolutionnaires apportés par l'immunothérapie anti-PD-1/PD-L1 dans le CBNPC de stade IV ont motivé le développement de stratégies de prise en charge des tumeurs localement avancées utilisant les inhibiteurs de points de contrôle immunitaire.L'intégration du durvalumab dans ...

L'analyse poolée rétrospective d'essais de la FDA semble suggérer un bénéfice en survie avec l'immunochimiothérapie chez les patients non fumeurs atteints d'un CBNPC avec statut PD-L1  50 % par rapport à l'immunothérapie seule. En revanche, le statut KRAS, même en fonction de PD-L1, ne ...

Les progrès révolutionnaires apportés par l'immunothérapie anti-PD-1/PD-L1 dans le CBNPC de stade IV ont motivé le développement de stratégies de prise en charge des tumeurs localement avancées utilisant les inhibiteurs de points de contrôle immunitaire.L'intégration du durvalumab dans ...

Les mutations activatrices de l'EGFR sont le marqueur prédictif de réponse aux ITK de l'EGFR. Pour les patients dont la tumeur est porteuse d'une mutation commune de l'EGFR (del 19, L858R), le traitement actuel de 1re ligne est un ITK de 3e génération, l'osimertinib. Dans les situations où ...

Si KRAS est considéré comme l'oncogène le plus muté, il est aussi associé à un pronostic très défavorable, et ce tout particulièrement dans le cancer bronchique non à petites cellules. Les progrès en biologie moléculaire ont néanmoins permis une meilleure compréhension du mécanisme ...

Les mutations activatrices de l'EGFR sont le marqueur prédictif de réponse aux ITK de l'EGFR. Pour les patients dont la tumeur est porteuse d'une mutation commune de l'EGFR (del 19, L858R), le traitement actuel de 1re ligne est un ITK de 3e génération, l'osimertinib. Dans les situations où ...

Si KRAS est considéré comme l'oncogène le plus muté, il est aussi associé à un pronostic très défavorable, et ce tout particulièrement dans le cancer bronchique non à petites cellules. Les progrès en biologie moléculaire ont néanmoins permis une meilleure compréhension du mécanisme ...

Plusieurs essais de phase II, souvent non randomisés et de petits effectifs, ont rapporté des résultats sur l'immunothérapie préopératoire dans le CBNPC de stade précoce, seule ou en association avec la chimiothérapie.Le taux de réponse histologique majeure (10 % ou moins de cellules ...

L'immunothérapie a été évaluée en situation périopératoire, pour des patients atteints d'un cancer bronchique non à petites cellules de stade IB à IIIA opérés et en résection complète.Les résultats de l'essai IMpower 010 indiquent un bénéfice de survie sans maladie en faveur de ...

Les résultats actualisés à 4 ans de l'étude CheckMate 227 ont confirmé l'efficacité à long terme de l'association nivolumab + ipilimumab en 1re ligne des CBNPC de stade avancé. À 4 ans, le taux de patients vivants avec PD-L1 ≥1 % était de 29 % avec ce traitement et celui des ...

Les thérapies ciblées restent le traitement de référence pour une proportion non négligeable de patients atteints d'un cancer bronchique non à petites cellules. Les dernières avancées confirment leur place dans les indications déjà connues, et notamment dès la première ligne pour les ...