Articles pour « mutations BRCA »

Depuis quelques mois, le nouveau standard de traitement des carcinomes triple-négatifs métastatiques, en 1re ligne de traitement, est une association de chimiothérapie et de pembrolizumab, mais seulement pour les carcinomes exprimant le PD-L1 (score CPS ≥ 10) (figure 1). En effet, il existe ...

Dans le cadre du Congrès Retour sur l’actualité en onco-sénologie

La chimiothérapie par FOLFIRINOX est le standard de 1re ligne chez les patients de moins de 75 ans, en bon état de santé général et avec une bilirubinémie normale. La combinaison gemcitabine + nab-paclitaxel est une option non remboursée en France. La gemcitabine est réservée aux cas ...

Exploration tubaireD'après la communication de N. Massin (Créteil)Selon les recommandations CNGOF 2010 et ASRM 2012, l'hystérosalpingographie (HSG) doit être prescrite à l'issue de la 1re consultation s'il n'existe pas d'antécédent de chirurgie pelvipéritonéale, d'endométriose ...

La chimiothérapie par FOLFIRINOX est le standard de 1re ligne chez les patients de moins de 75 ans, en bon état de santé général et avec une bilirubinémie normale. La combinaison gemcitabine + nab-paclitaxel est une option non remboursée en France. La gemcitabine est réservée aux cas ...

Jusqu’à présent dans le cancer de l’ovaire, les essais d’inhibiteurs de checkpoint en monothérapie ont plutôt montré des résultats décevants. De plus, le niveau d’expression de PD-L1 ne semblait pas très corrélé à l’efficacité. Plusieurs stratégies sont à l’étude pour ...

Dans le cadre du Congrès Actualités en onco-gynécologie

Les tumeurs de la voie excrétrice urinaire supérieure (TVES) sont une forme rare de carcinome urothélial. Bien que les TVES et les tumeurs de la vessie partagent plusieurs caractéristiques, elles présentent des différences importantes en termes d’épidémiologie, de présentation clinique, ...

Les tumeurs de la voie excrétrice urinaire supérieure (TVES) sont une forme rare de carcinome urothélial. Bien que les TVES et les tumeurs de la vessie partagent plusieurs caractéristiques, elles présentent des différences importantes en termes ...

À l’heure actuelle, il n’existe pas de méthodes de dépistage efficaces dans le cancer de l’ovaire. Seules les techniques de prévention contre le cancer de l’ovaire ont montré un impact sur la mortalité liée à cette ...

À l'heure actuelle, il n'existe pas de méthodes de dépistage efficaces dans le cancer de l'ovaire.Seules les techniques de prévention contre le cancer de l'ovaire ont montré un impact sur la mortalité liée à cette maladie.Des méthodes prophylactiques médicales, l'administration ...

À l'heure actuelle, il n'existe pas de méthodes de dépistage efficaces dans le cancer de l'ovaire.Seules les techniques de prévention contre le cancer de l'ovaire ont montré un impact sur la mortalité liée à cette maladie.Des méthodes prophylactiques médicales, l'administration ...

Le talazoparib est un inhibiteur de PARP (1) ayant une activité cytotoxique antitumorale à des concentrations inférieures à celles de l'olaparib (1 ­mg/­j en monothérapie). Il fait l'objet d'essais thérapeutiques dans les cancers de la prostate métastatiques résistants à la ...

S’abstenir d’effectuer une biopsie du ganglion sentinelle en situation de cancer du sein invasif T1cN0 de bas grade RH+ HER2− peut être envisagée (essai INSEMA). L’essai HypoG-01 confirme l’équivalence en tolérance d’une irradiation hypofractionnée en cas d’atteinte ...

Pour le cancer de la prostate, l'année 2021 s'est montrée riche de résultats d'études de phase III qui vont modifier nos pratiques. C'est notamment le cas de STAMPEDE dans les cancers locaux à haut risque, PEACE 1 dans les cancers métastatiques hormonosensibles et VISION dans les cancers ...

En 2022 en France, la prescription d’un traitement par immunothérapie en 1re ligne des cancers pour les patientes atteintes d’un cancer du sein métastatique triple négatif est conditionnée par un statut PD-L1 positif. Ce statut PD-L1 positif est basé sur un test immunohistochimique, ...

Dans le cadre du Congrès Retour sur l’actualité en onco-sénologie

Il est essentiel de penser à une prédisposition et orienter tout homme atteint d'un cancer du sein vers une consultation de génétique.La probabilité d'identifier un variant pathogène dans un gène de prédisposition est faible, mais dépend de l'histoire familiale.Les risques d'un cancer du ...

Le cancer du sein chez l'homme est rare : il représente moins de 1 % des cancers de l'homme. De ce fait, les données sont fragmentaires et les recommandations thérapeutiques reposent sur des avis d'experts faute de données numériquement plus importantes ou d'études randomisées. ...

En octobre 1990, il y a 30 ans, Mary-Claire King publiait dans Science la localisation sur le bras long du chromosome 17 d'un premier gène de prédisposition aux cancers du sein [1]. L'étude reposait sur la recherche de coségrégation entre des marqueurs génétiques de ...

Les carcinomes du sein triple-négatifs sont définis par l'absence d'expression des récepteurs hormonaux (estrogènes et progestérone) et de surexpression du récepteurs HER2. Ces caractéristiques sont de très loin les plus souvent analysées en immunohistochimie. Du point de vue clinique, ...

Le ciblage de la réparation de l’ADN dans les cancers du sein présente un rationnel fort du fait de nombreuses mutations, cassures et réarrangements observés. De nombreuses voies sont impliquées dans la réparation de l’ADN et sont potentiellement des cibles thérapeutiques. La première ...

Dans le cadre du Congrès Actualités en oncosénologie

Cancers de l'ovaire :- l'immunothérapie présente un taux de réponses décevant chez des patientes non sélectionnées ;- la reprise du bévacizumab est efficace chez des patientes en rechute sensibles au platine et ayant reçu du bévacizumab lors du traitement initial ;- l'association ...